12 janvier 2006
Même sentiment (que chez Böcklin) dans le “Moine
Même sentiment (que chez Böcklin) dans le “Moine devant la mer”, 1808-1810, de Caspar David Freidrich (ci-dessous). Solitaire, minuscule et de dos, l'homme se fond dans les glacis bleus et verts du paysage qui occupe la presque totalité de la toile. Au-dessus des eaux, les ombres et les brumes semblent se disperser pour nous offrir une trouée lumineuse s’ouvrant dans les cieux — tel un signe d’espoir.
Publicité
Publicité
Commentaires